Dialogue entre un père et son fils
à la fin de la première journée de la rentrée scolaire
Le père
Alors Larbi, qu’est-ce qu’on t’a dit à l’école ?
Le fils
On nous a dit que le port du tablier est obligatoire.
Le père
Ah bon ? Et en ce qui concerne les manuels scolaires ?
Le fils
Nous aurons un livre par table pour les titres disponibles. Quant aux titres manquants, on nous a assurés que leur livraison se fera bientôt. En tout cas, avant la fin du trimestre. Mais papa, n’oublie pas de m’acheter un tablier. Je te rappelle qu’il est obligatoire.
Le père
Oui, oui. Mais combien êtes-vous dans la classe ?
Le fils
Un peu plus de 40 élèves. C’est formidable ! Plus on est de fous, plus on s’amuse ! De plus, comme on est nombreux, le professeur ne pourra pas interroger tous les élèves. C’est chouette ! Dis, papa, tu y penses à mon tablier ?
Le père
Bien sûr. Parle-moi de tes professeurs.
Le fils
Il nous en manque deux pour le moment. Le professeur de sciences naturelles nous a dit que par manque de matériel scientifique, les travaux pratiques seront désormais théoriques. Le professeur de géographie a fait toute une histoire à cause de l’absence dans l’école de cartes géographiques. Mais tous nos professeurs ont insisté sur l’obligation faite aux élèves de porter un tablier.
Le père
Est-ce qu’on t’a remis ton emploi du temps ?
Le fils
Oui, bien sûr. J’aurai à travailler 36 heures par semaine sans compter les devoirs à faire à la maison. C'est-à-dire plus de 40 heures ! Et si l’on considère que l’heure à l’école est égale à 60 mn, contrairement à votre heure de travail qui n’excède pas 20 mn, je peux dire fièrement que je travaillerai trois fois plus que toi, papa. Tu devrais penser à me nourrir en conséquence. Bon, maintenant allons acheter mon tablier !
Le père
Tout à l’heure, tout à l’heure !
Comment as-tu trouvé ton école, ta classe ?
Le fils
Tu sais, mon école je la trouve un peu éloignée de la maison. Quant à ma salle de classe, elle est froide, mal éclairée, presque inhospitalière. C’est un véritable tableau noir ! Mais papa, j’ai l’impression que depuis tout à l’heure tu attaches beaucoup plus d’importance aux choses secondaires en cherchant à ignorer l’essentiel, c'est-à-dire le port obligatoire du tablier !
Je t’en prie, amène-moi un tablier ! Amène ! Amène ! Amène !
Le père
Larbi ne fait pas le moine !
Lem
Le journaliste
Qu’est-ce qu’un état de siège ?
Le dépité
C’est un régime spécial pour faire perdre du poids à
un corps (mal) constitué.
Le journaliste
Qui met en place l’état de siège ?
Le dépité
C’est un Général en général qu’on charge avec des balles réelles pour maintenir l’ordre avec des ordres.
Le journaliste
Pourquoi instaure-t-on un état de siège ?
Le dépité
Souvent, c’est à cause de l’état DU siège. Autrement dit, c’est pour protéger le siège de l’état et les tas de sièges.
Le journaliste
Vous voulez dire qu’un bon état peut se trouver un jour en mauvais état ?
Le dépité
Oui, surtout quand le ras-le-bol général poussent les enfants de la batterie à recharger leurs accus.
Le journaliste
On oublie donc la nationalité pour faire du pays une nation alitée ?
Le dépité
En effet, et cela se traduit par un dialogue de corps rompus et de sourd mouillés.
Le journaliste
Si j’ai bien compris, c’est donc à cause de l’ouïe que le pays est plongé dans le chaos et le K.O. ?
Le dépité
Oui, on peut même dire qu’ensuite le pays est dirigé par une main de fer dans un gant de voleurs.
Le journaliste
Entre s’ouvrir et souffrir, y a pas photo !
Le dépité
Pire, désormais tout devient cliché, négatif et épreuves !
Le journaliste
Mais pourquoi se battre à deux mains au lieu de se travailler en pensant à demain ?
Le dépité
Parce que tout cela est orchestré par des mains de frères dans un gang de vieux lourds.
Le journaliste
Une patrie pétrie, quoi !
Le dépité
Hélas, cet État qui était un beau pays sage n’est même plus un beau pays sage.
Le journaliste
Autrement dit, les colères nationales ont pris le dessus sur les couleurs nationales ?
Le dépité
Hé oui, quand on néglige son emblème qui est un drap beau, on se retrouve immanquablement dans de beaux draps.
Le journaliste
Et maintenant, comment sortir de ce coffre-fort qui est un véritable coffre rage ?
Le dépité
A mon avis, il faut mettre à nu toutes combinaisons en dévoilant les numéros qui sont à l’origine de cette fermeture éclair. Pour cela, il faut être ferme, dur et clair !
Le journaliste
En résumé, quelle est en votre définition de l’état de siège ?
Le dépité
L’état de siège est un régime de sécurité sous ciel décrété quand un pays devient un vaisseau sans gain où il n’y a que déveine.
Ne mens pas, mon fils, c’est mal.
Mais, papa, tout le monde ment aujourd’hui. Je le vois même dans mon songe.
Ne vole pas, mon fils, ce n’est pas bien.
Mais, papa, comment faire donc pour atteindre les hautes sphères sans voler ?
Il faut aimer ton prochain, mon fils, et l’assister en toute circonstance.
Mais, papa, sais-tu qu’il y a trop de prochain et tellement de circonstances.
Tu dis toi-même qu’on ne sait plus où donner de la dette !
Il faut bien travailler à l’école, il y va de ton avenir, mon fils.
Mais, papa, à l’école il n’y a que les colles. Quant au reste, il n’y a que les restes. On y va pour apprendre l’écrit, et on ne récole que les cris.
Il faut respecter les biens publics et l’environnement, mon fils, c’est le devoir de tout citoyen qui se respecte.
Mais, papa, les devoirs j’en fais tous les jours et tous les soirs. Pour le reste, ce n’est pas ma faute si la ville est devenue la vile, si les bonnes habitudes ne persévèrent pas, et si la campagne perd ses verts !
Il ne faut jamais faire de faux témoignages, mon fils, c’est un péché.
Mais papa, aujourd’hui il y tellement de faux témoignages qu’il faut, à mon avis, faire un faux témoignage contre le faux témoignage pour avoir conscience qu’on a fait un bon témoignage.
Il ne faut jamais s’abandonner à la colère, mon fils, c’est une mauvaise conseillère.
Mais papa, comment faire dans un milieu où le centre de gravité est justement la colère ? Si bien que les gens qui se croisent se lancent en guise de politesse :
« Alors, comment t’emportes-tu aujourd’hui ? »
Il faut être propre et honnête, mon fils, et éviter de nager dans l’eau trouble.
Je sais, papa, qu’il faut s’éloigner de l’eau sale et de l’opprobre, mais comment faire quand autour de soi il n’y a que de la propreté sale répandue par les Huns et les hôtes ?
Mon fils, suis mes conseils qui sont les conseils de tes ancêtres qui les détenaient de leurs pères. Suis mes conseils, mon fils, et tu vivras heureux sur ce sol qui est tiens et celui des tiens. Si tu le peux, sois bon et juste, sinon sois juste bon.
Oui, papa, je te suis et suivrai tes conseils. Tu veux dire que pour exister, il faut être ? Et que moi, j’existe parce je ne suis pas ce qu’il ne faut pas suivre. Et suivre ce qu’il ne faut pas n’est pas le but de celui que je suis. Et celui que je suis, suis celui que je veux être, c'est-à-dire toi, papa, toi que je suis et que je suivrai tant que je suis.
Le journaliste
Qu’est-ce
qu’un état de siège ?
Le dépité
C’est
un régime spécial pour faire perdre du poids à un corps mal constitué selon le
point de vue du corps constitué.
Le journaliste
Qui
met en place l’état de siège ?
Le dépité
C’est
un Général en général qu’on charge avec des balles réelles pour mettre le
désordre avec des ordres.
Le journaliste
Pourquoi
instaure-t-on un état de siège ?
Le dépité
Souvent,
c’est à cause de l’état du siège. Autrement dit, c’est pour protéger le siège
de l’état et les tas de sièges.
Le journaliste
Vous
voulez dire qu’un bon état peut se trouver un jour en mauvais état ?
Le dépité
Oui,
surtout quand le ras-le-bol général pousse les enfants de la batterie à
recharger leurs accus. On a alors une batterie anti « char ». (char veut dire
disette en arabe)
Le journaliste
A
défaut de manger, ils mâchent leur amertume ?
Le dépité
Oui,
ces jeunes se soulèvent contre l’état malade qui a transformé le pays en nation
alitée.
Le journaliste
Et
si l’état proposait aux révoltés un dialogue de sous ?
Le dépité
Mais
cela se traduit toujours par un dialogue de corps rompus et de sourds mouillés.
Le journaliste
Si
j’ai bien compris, c’est donc à cause de l’ouïe que le pays est plongé dans le
chaos et le K.O. ?
Le dépité
Oui,
on peut même dire qu’ensuite le pays est dirigé par une main de fer sans faire.
Le journaliste
Alors
entre s’ouvrir et souffrir, y a pas photo !
Le dépité
Pire,
désormais tout devient cliché, négatif et épreuves !
Le journaliste
Mais
pourquoi se battre à deux mains au lieu de se travailler en pensant à demain ?
Le dépité
Parce
que tout cela est orchestré par des mains de frères dans un gang de vieux
lourds.
Le journaliste
Une
patrie pétrie, quoi !
Le dépité
Hélas,
cet État qui est un beau pays sage est loin d’être un beau pays sage.
Le journaliste
Autrement
dit, les colères nationales ont pris le dessus sur les couleurs nationales ?
Le dépité
Hé
oui, quand on néglige son emblème qui est un drap beau, on se retrouve
immanquablement dans de beaux draps.
Le journaliste
Et
maintenant, comment sortir de ce coffre-fort qui est un véritable coffre rage ?
Le dépité
A
mon avis, il faut mettre à nu toutes combinaisons en dévoilant les numéros qui
sont à l’origine de cette fermeture éclair. Pour cela, il faut être ferme, dur
et clair !
Le journaliste
En
résumé, quelle est en votre définition de l’état de siège ?
Le dépité
L’état
de siège est un régime anti social de sécurité sous ciel décrété quand un pays
devient un vaisseau sans gain où il n’y a que déveine.
SCÈNE DE… MÉNINGES
L’homme
La femme est l’incarnation du mal. Désirant être l’égale de l’homme, mais ne pouvant pas faire le mâle, elle fait le mal. Ça rime peut-être, mais ça rime à rien !
La femme
C’est ce que tu viens de dire qui est mal. Et à propos de rime, saches que tu es vraiment un maladroit pour quelqu’un qui prétend être un mâle adroit !
L’homme
Qu’est-ce que je disais ! Quand j’étais célibataire, tu me trouvais pas mal. Maintenant que je t’ai épousée, voilà que tu ne me trouves plus mâle du tout !
La femme
Te rends-tu compte que tu es en train de dire du mal de la femme qui pourrait être la sœur, la mère... ?
L’homme
Ah çà ! Tu as raison, la femme c’est bien la mère, mais avec un « l » apostrophe.
La femme
Allons ne soit pas odieux. Sans nous, les femmes, vous seriez bien malheureux, vous, les hommes !
L’homme
Encore une fois, tu as raison. Sans vous, les femmes, nous serions vraiment des mâles heureux.
La femme
Tu ne vas pas me dire que tu n’es pas satisfait quand je prépare tes repas et fais tes repassages ?
L’homme
Tu sais, pour les repas, il te faut toujours une grande dépense pour faire une petite recette. Quant au repassage, sans vouloir te froisser, tu repasseras comme on dit, car tout le monde peut le faire même sans fer.
La femme
Et les enfants, c’est peut-être toi qui les laves et les habilles ? La vaisselle et la lessive, c’est encore toi qui t’en occupes ! Quand tu reçois tes amis, c’est toujours toi qui leur prépares le café !
L’homme
Arrête ! Arrête ! Sinon tu vas me dire que tu mâches aussi ma nourriture ! Chacun a un rôle à jouer dans un foyer.
Et en ce qui nous concerne, toi tu parles et moi je dégoûte.
La femme
Là, tu exagères !
Si moi je suis une femme, toi tu es plutôt infâme !
L’homme
Mais c’est toi qui as dit oui pour le nom !
La femme
Écoute, si je n’ai pas dit non, c’était pour ménager ton ouïe.
L’homme
J’ai demandé seulement ta main, pourquoi es-tu venue avec le reste ?
La femme
Hé bien, le reste est venu pour plaquer cette main sur ta figure si tu continues à me chercher !
L’homme
Te chercher ? C’est justement ma première erreur !
Aujourd’hui, je donnerais tout pour te rechercher sans jamais te retrouver, bien sûr !
La femme
Là, tu vas trop loin !
L’homme
Tu n’as donc pas encore compris ?
C’est toi qui devrais aller très loin !
La femme
Ah, bon ! C’est comme ça ?
Alors, adieu, je vais chez mes parents !
SUR CES ENTREFAITES, LES ENFANTS RENTRENT DE L’ÉCOLE TOUT JOYEUX
Les enfants
Bonjour papa, bonjour maman !
Joyeux anniversaire à tous les deux !
Voici notre cadeau pour votre 20ème année de mariage.
Bravo !
L’homme : La femme
est l’incarnation du mal. Désirant être
l’égale de l’homme, mais ne pouvant pas faire le mâle, elle fait le mal. Ça
rime peut-être, mais ça rime à rien !
La femme : C’est ce
que tu viens de dire qui est mal. Et à
propos de rime, saches que tu es vraiment un maladroit pour quelqu’un qui
prétend être un mâle adroit !
L’homme : Qu’est-ce
que je disais ! Quand j’étais
célibataire, tu me trouvais pas mal. Maintenant
que je t’ai épousée, voilà que tu ne me trouves plus mâle du tout !
La femme : Te
rends-tu compte que tu es en train de dire du mal de la femme qui pourrait être
la sœur, la mère... ?
L’homme : Ah
çà ! Tu as raison, la femme c’est
bien la mère, mais avec un « l » apostrophe.
La femme : Allons ne
soit pas odieux. Sans nous, les femmes,
vous seriez bien malheureux, vous, les hommes !
L’homme : Encore une
fois, tu as raison. Sans vous, les
femmes, nous serions vraiment des mâles heureux.
La femme : Tu ne vas
pas me dire que tu n’es pas satisfait quand je prépare tes repas et fais tes
repassages ?
L’homme : Tu sais,
pour les repas, il te faut toujours une grande dépense pour faire une petite
recette. Quant au repassage, sans
vouloir te froisser, tu repasseras comme on dit, car tout le monde peut le
faire même sans fer.
La femme : Et les
enfants, c’est peut-être toi qui les laves et les habilles ? La vaisselle et la lessive, c’est encore toi
qui t’en occupes ! Quand tu reçois
tes amis, c’est toujours toi qui leur prépares le café !
L’homme : Arrête ! Arrête !
Sinon tu vas me dire que tu mâches aussi ma nourriture ! Chacun a un rôle à jouer dans un foyer. Et en ce qui nous concerne, toi tu parles et
moi je dégoûte.
La femme : Là, tu
exagères ! Si moi je suis une
femme, toi tu es plutôt infâme !
L’homme : Mais c’est
toi qui as dit oui pour le nom !
La femme : Écoute,
si je n’ai pas dit non, c’était pour ménager ton ouïe.
L’homme : J’ai
demandé seulement ta main, pourquoi es-tu venue avec le reste ?
La femme : Hé bien,
le reste est venu pour plaquer cette main sur ta figure si tu continues à me
chercher !
L’homme : Te
chercher ? C’est justement ma
première erreur ! Aujourd’hui, je
donnerais tout pour te rechercher sans jamais te retrouver, bien sûr !
La femme : Là, tu vas
trop loin !
L’homme : Tu n’as
donc pas encore compris ? C’est toi
qui devrais aller très loin !
La femme : Ah,
bon ! C’est comme ça ? Alors,
adieu, je vais chez mes parents !
SUR CES ENTREFAITES, LES
ENFANTS RENTRENT DE L’ECOLE TOUT JOYEUX
Les enfants : Bonjour
papa, bonjour maman ! Joyeux anniversaire à tous les deux ! Voici notre cadeau pour votre 20ème
année de mariage. Bravo !
Épreuve Orale À L’examen Du Permis De
Conduire
L’examinateur
Voici
la première question madame : Vous roulez tranquillement quand vous
apercevez soudain une plaque indiquant « virage à droite dangereux ».
Que faites-vous ?
La candidate
Hé
bien, je tourne rapidement à gauche !
L’examinateur
Plus
loin, une plaque vous signale « Ralentir
travaux ». Que
faites-vous ?
La candidate
(Souriante)
C’est
un piège que vous tendez là. Cette
signalisation ne me concerne pas du tout.
Elle s’adresse aux ouvriers qu’on a l’habitude de voir travailler
lentement.
L’examinateur
Dans
une circulation à double sens, quelles sont les facultés du conducteur à mettre
en éveil ?
Avez-vous
compris la question ?
La candidate
C’est
vu, oui ! (Vue – Ouïe)
L’examinateur
Que
faites-vous après avoir renversé un poteau électrique ?
La candidate
Je
saute de joie, car ce serait un véritable exploit !
L’examinateur
Sur
quelle partie de la chaussée devez-vous circuler ?
La candidate
Sur
la partie droite si les nids de poule se trouvent à gauche, sur la partie
gauche si les nids de poule se trouvent à droite.
L’examinateur
Quelles
précautions devez-vous prendre en amorçant une descente rapide ?
La candidate
J’accélère
à fond pour descendre la pente le plus vite possible afin que l’accident n’ait
pas le temps de se produire !
L’examinateur
Quelles
précautions devez-vous prendre avant d’aborder un virage dangereux ?
La candidate
Si
le virage est très dangereux, je ne l’aborde pas, je fais demi-tour !
L’examinateur
Quand
utilise-t-on les rétroviseurs ?
La candidate
Quand
ils ne sont pas cassés.
L’examinateur
Quelles
précautions devez-vous prendre avant de quitter votre véhicule ?
La candidate
Je
m’assure qu’il est bien rangé devant un commissariat de police. Vous savez, avec tous ces voleurs qui courent
les rues...
L’examinateur
Qu’est-ce
qu’une route à grande circulation ?
La candidate
Le
contraire d’une route à petite circulation.
L’examinateur
Qu’est-ce
qu’une route secondaire ?
La candidate
Une
route fréquentée par des lycéens.
L’examinateur
Pourquoi
les pneus lisses sont-ils interdits ?
La candidate
Parce
qu’ils ne sont pas autorisés.
L’examinateur
Que
faites-vous en présence d’un accident de la circulation ?
La candidate
Je
tombe dans les pommes.
L’examinateur
Que
représente pour vous la plaque signifiant « sens interdit » ?
La candidate
A
mon avis, comme son nom l’indique, « Sans
interdit » veut dire tout est permis.
L’examinateur
A
propos de permis, madame, sans vouloir vous froisser, sachez que vous serez
obligée de le repasser !
La candidate
Le
repasser ? Ah bon, je ne savais pas
que les permis de conduire sont faits en tissu aujourd’hui !
Vraiment,
on n’arrête pas le progrès !